par Jeanne Siaud-Facchin (aux éditions Odile Jacob)
Un premier chapitre court est consacré à la question des définitions. L’auteur écrit que le terme de précocité intellectuelle est un terme nuisible pour la compréhension de ces enfants. Sur le fond, auparavant, elle avait précisé qu’un QI supérieur à 130 est un indice qui oriente, et qu’une donnée chiffrée ne suffit pas.
Voici les titres des autres chapitres de cet ouvrage :
- La personnalité de l’enfant surdoué
- Le mode de pensée de l’enfant surdoué
- L’enfant surdoué et l’école
- L’enfant surdoué au quotidien
- Quels sont les signes pour reconnaître un enfant surdoué ?
- Le bilan psychologique
- Que doit-on dire ?
- Les risques de troubles psychologiques chez l’enfant surdoué
Le chapitre 3 est composé de deux sous-chapitres : L’enfant surdoué pense autrement, et L’organisation cognitive de la pensée. Ce dernier traite en particulier du rôle des hémisphères cérébraux, et de la plus grande prédominance du cerveau droit chez l’enfant surdoué. Un peu plus loin, à propos de la mémoire, l’auteur écrit : Les études sur le sommeil montrent que les enfants surdoués ont des phases de sommeil paradoxal plus longues que celles habituellement observées.
A la fin du chapitre 6, à la question : Faut-il faire passer un bilan de façon préventive ? Jeanne Siaud-Facchin, psychologue clinicienne, répond :
Oui et oui, surtout oui.
C’est vraiment ce qui aidera le plus et le mieux votre enfant.
Jeanne Siaud-Facchin a écrit plusieurs autres ouvrages, dont “Aider l’enfant en difficulté scolaire” (aux éditions Odile Jacob) qui, au moins dans sa première édition en 2006, ne comporte pas de liste d’adresses utiles à la fin : elle n’y mentionne que le centre qu’elle a créé dans les remerciements.